5 conseils incontournables pour randonner dans un pays étranger

5 conseils pour faire de la randonnée dans un pays étranger

Il existe de nombreuses règles non écrites en matière de randonnée, dont beaucoup ont trait à la propreté des sentiers et au respect de la terre. Cependant, il existe également de nombreux conseils qu’il est bon de connaître pour que votre voyage se déroule le mieux possible…

Si vous aimez explorer les grands espaces à l’étranger, il y a de nombreuses choses à prendre en compte.

Avec l’aide de NatureMatos.com, nous avons élaboré une liste de cinq conseils simples pour faire de la randonnée dans un pays étranger sans se mettre en danger et en appréciant le plus possible sa sortie sur les sentiers.

Nos 5 conseils pour randonner à l’étranger

1. Faites plus de recherches que d’habitude

Les parcs et les sentiers ne sont pas toujours faciles d’accès, même au point de départ. Ils nécessitent parfois une course en taxi ou une longue marche en montée qui ne fait même pas encore partie de la randonnée.

Cela peut avoir une incidence sur l’aspect pratique de l’accès au sentier et sur le temps que vous devez consacrer à l’ensemble du voyage.

Ainsi, il est beaucoup plus facile de se renseigner à l’avance sur ces aspects et de les lire dans sa langue maternelle que de les découvrir sur place.

2. Savoir à quelle heure le soleil se couche

Selon la région et la période de l’année, il se peut que vous ayez moins de lumière du jour que prévu.

À moins que vous n’ayez séjourné dans le pays ou la région en question pendant un certain temps avant de partir en randonnée, vous devrez peut-être vous renseigner pour avoir une idée plus précise de la situation. Par exemple, sur les îles Lofoten qui sont très au Nord de l’Europe, le soleil peut se coucher à des heures très variables selon la saison !

De ce fait, assurez-vous de savoir de combien de temps vous disposez pour ne pas avoir à courir après la lumière, ou à vous dépêcher de monter le camp pour la nuit.

3. Connaissez votre numéro de passeport (par cœur !)

Ce point peut varier en fonction du pays et de la popularité du parc naturel où vous randonnez.

Plus le parc est populaire, plus ce numéro peut s’avérer utile. Même si ce n’est pas le cas pour tous les parcs, dans beaucoup d’entre eux, un garde forestier vous attendra à l’entrée, surtout si l’entrée est payante. Au moment de payer, il vous demandera probablement d’inscrire vos coordonnées, comme votre nom et votre numéro de téléphone, en cas d’urgence.

Dans ce cas, il y a également de fortes chances qu’il vous demande votre pays d’origine et votre numéro de passeport, au cas où quelque chose se produirait et qu’il doive contacter l’ambassade.

Bien qu’il soit conseillé de voyager avec une copie de votre passeport, le fait de connaître votre numéro de passeport à l’avance peut accélérer le processus, et vous permet de ne pas avoir à vous promener avec vos précieux papiers officiels.

4. Vérifiez les heures d’ouverture des parcs

Cela peut sembler évident, et ce n’est probablement pas une mauvaise idée dans votre pays d’origine non plus.

Toutefois, si vous vous rendez dans un parc plus fréquenté par les locaux que par les touristes, vous ne pourrez peut-être pas vous fier aux horaires indiqués sur Google. Même si vous êtes confronté à la barrière de la langue, faites l’effort de vérifier les horaires auprès d’un garde forestier si vous en rencontrez un à l’entrée du parc.

Cela vaudra mieux que de vous débattre avec la barrière de la langue si vous êtes dans le parc après la fermeture et que vous vous retrouvez à recevoir un appel téléphonique agacé du garde forestier en question.

5. Parlez aux locaux

Si vous croisez des habitants sur les sentiers, parlez-leur.

Non seulement parce qu’ils sont généralement sympathiques et ont des histoires intéressantes, mais aussi parce qu’ils pourront vous donner les meilleurs conseils.

Ils pourront peut-être vous dire où se trouvent les meilleurs points de vue, ou vous conseiller si un certain sentier est fermé ou si d’autres problèmes surviennent.

Si vous voyagez en solo, ils peuvent même vous intégrer à leur groupe si vous décidez que la randonnée en groupe est préférable à la randonnée en solitaire.

Alors, n’ayez pas peur, et dépassez vos limites !

Et n’oubliez de vous renseigner sur votre assurance de voyage et sa couverture aux activités sportives.

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